Lorsqu’il ne soignait pas les chevaux, Dominique Giniaux sculptait au couteau un morceau de bois bien choisi dans la nature et l’offrait spontanément à celui ou celle qui se trouvait là à ce moment là. Le morceau de bois lui inspirait toujours le sujet.
Il sculptait également la pierre en taille directe. Il préférait la pierre tendre et a réalisé plusieurs sculptures en pierre de Saint Maximin.
La pièce maitresse de ses sculptures est de belle dimension et le projet était de l’éditer en bronze, ainsi qu’un superbe couteau en bois.
Je suis allée à la fonderie après son décès.